Les routes roumaines sont pour nous un véritable spectacle. On a toujours des champs de blé, de mais et de tournesol....de ce côté là le paysage ne changent pas vraiment. Ce qui est différent c'est la vie qu'il y a autour.
Dans un savant mélange dont les règles nous échappent on trouve des tracteurs ultra modernes, des moissonneuses batteuses, des voitures de luxes mais aussi des charrettes, des paysans travaillant leurs champs à la faux, faisant des tas de foin immense de manière traditionnelle. Au loin ont voit des troupeaux de vaches, de moutons, de chèvres toujours accompagnés de leur berger. Hommes ou femmes ils dirigent leur bêtes à travers les champs, les villages et même parfois les villes.
Il n'y a pas de barrière du tout...nulle part en fait. Tout est ouvert.
Ce mélange du moderne et du traditionnel donne à la Roumanie un rythme différent, plus lent, moins stressé, plus près de la nature.
Vers 17-18h le monde des champs retourne dans les villages voisins. Les troupeaux donnent la leçons aux voitures qui ne sont clairement plus prioritaires. Les gens s'installent sur la droite ou la gauche des portails des maisons pour discuter....il y a un banc prévu à cette effet. C'est la version roumaine de l'arbre à palabre. Il est l'heure d'échanger avec son voisins les histoires de la journée. Toutes les générations sont là. Il nous regarde passé d'un air curieux.
On aime.
Dans la région de Oradea, Roumanie, le 04 juillet 2013
Ce mélange du moderne et du traditionnel donne à la Roumanie un rythme différent, plus lent, moins stressé, plus près de la nature.
Vers 17-18h le monde des champs retourne dans les villages voisins. Les troupeaux donnent la leçons aux voitures qui ne sont clairement plus prioritaires. Les gens s'installent sur la droite ou la gauche des portails des maisons pour discuter....il y a un banc prévu à cette effet. C'est la version roumaine de l'arbre à palabre. Il est l'heure d'échanger avec son voisins les histoires de la journée. Toutes les générations sont là. Il nous regarde passé d'un air curieux.
On aime.
Dans la région de Oradea, Roumanie, le 04 juillet 2013
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